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En 1997 paraissait le premier Rapport sur l’homophobie de notre association, trois ans après la création de la ligne d’écoute. Depuis, chaque année, cet ouvrage recense et analyse les témoignages qui nous sont quotidiennement adressés via nos dispositifs d’écoute. En 2020, le document prend le nom de Rapport sur les LGBTIphobies dans le but de mieux représenter la diversité des personnes concernées et des thématiques abordées.

Les données statistiques issues de ces prises de contact sont classées dans plusieurs thématiques (agressions physiques, discriminations au travail, en famille, mal de vivre, etc.), et analysées par nos bénévoles. Le Rapport sur les LGBTIphobies constitue une référence qui permet de présenter chaque année l'évolution des discriminations LGBTIphobes en France. C’est le principal support militant de l’association pour donner la parole aux victimes et attirer l’attention des institutions politiques.

Visuel

Le Rapport sur les LGBTIphobies 2025

SOS homophobie publie en ce 15 mai 2025 la 29ᵉ édition de son rapport annuel afin de dresser un état des lieux des violences, discriminations et obstacles auxquels sont confrontées les personnes lesbiennes, gays, bies, trans et intersexes en France. À partir des vécus des personnes qui ont témoigné auprès d’elle, mais aussi de son analyse de l’actualité et des évolutions politiques et sociales, SOS homophobie constate un climat politique et social réactionnaire qui ne cesse de prendre pour cible les personnes LGBTI. Le mal de vivre suscité par la banalisation des discours de haine renforce les dynamiques d’exclusion subies par les personnes LGBTI et brise le tissu social. Par ce rapport, l’association souligne la nécessité de remettre au centre de l’espace politique et social les vécus des personnes LGBTI et la lutte contre les discriminations.
 

Consulter le dossier de presse

 

“Vous trouvez de l’argent pour déménager ou vous trouvez de l’argent pour l’enterrement de vos enfants.”

C’est ce qu’a dit la police à Jenna et Emma, harcelées par leur voisine, après avoir subi un guet-apens lesbophobe. Leur fille de 5 ans est également harcelée.

“Ton père, c’est une tafiole, on va le faire mettre en prison !”

Le fils de Paul, cinq ans, lui rapporte les propos de sa belle-mère.

« Désespéré·e, j'ai arrêté de me battre, et j'ai décidé de quitter cet établissement en espérant [trouver] mieux ailleurs. »

Alix, personne non binaire, a démissionné après avoir subi de l’enbyphobie de la part de sa direction.

Nos précédents rapports

Couverture du rapport annuel 2024 de SOS homophobie

Rapport sur les LGBTIphobies 2024

Couverture du rapport 2023 de SOS homophobie

Rapport sur les LGBTIphobies 2023

miniature_couv_RA2022

Rapport sur les LGBTIphobies 2022

Couverture Rapport sur les LGBTIphobies

Rapport sur les LGBTIphobies 2021

RA2020

Rapport sur les LGBTIphobies 2020

RA2019

Rapport sur l'homophobie 2019

RA2018

Rapport sur l'homophobie 2018

RA2017

Rapport sur l'homophobie 2017

RA2016

Rapport sur l'homophobie 2016

RA2015

Rapport sur l'homophobie 2015

RA2014

Rapport sur l'homophobie 2014

RA2013

Rapport sur l'homophobie 2013

RA2012

Rapport sur l'homophobie 2012

RA2011

Rapport sur l'homophobie 2011

RA2010

Rapport sur l'homophobie 2010

RA2009

Rapport sur l'homophobie 2009

RA2008

Rapport sur l'homophobie 2008

RA2007

Rapport sur l'homophobie 2007

RA2006

Rapport sur l'homophobie 2006

RA2005

Rapport sur l'homophobie 2005

RA2004

Rapport sur l'homophobie 2004

RA2003

Rapport sur l'homophobie 2003

RA2002

Rapport sur l'homophobie 2002

RA2001

Rapport sur l'homophobie 2001

RA2000

Rapport sur l'homophobie 2000